« Le 31 mars 1916, je quitte ma mère en larmes… et je viens en Suisse, à Leysin. Je ne connais pas la langue que pour demander du pain et produire l’hilarité; je prends Télémaque et un dictionnaire et je commence à déchiffrer. C’est ainsi que j’ai appris le français, il y a trois ans et demi […]. J’ai lu une bonne partie des classiques français et 15 volumes de votre œuvre. » (Panaït Istrati - 1884-1935, lettre à Romain Rolland)
(Source: Joëlle Kuntz, "Panaït Istrati, l’homme qui n’adhère à rien", disponible sur: http://81.27.130.64/Page/Uuid/ecd276f2-de1c-11df-9b0b-e47316d37edf|0)
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